SOPK et compléments alimentaires : quels nutriments peuvent aider naturellement ?

SOPK et compléments alimentaires : quels nutriments peuvent aider naturellement ?

Le SOPK touche 1 femme sur 10. Et pourtant, il reste largement méconnu, banalisé, mal expliqué. On dit aux femmes que leurs règles finiront par revenir, que l’acné c’est “normal”, qu’elles mangent sûrement trop… et qu’il n’y a rien à faire tant qu’elles ne veulent pas d’enfant. On leur laisse croire qu’il n’existe aucune solution, aucun complément alimentaire pour le SOPK.


Le SOPK ne se résume pas à un “petit dérèglement”, ni à un projet bébé mis sur pause. Il mérite d’être compris, entendu et accompagné.
Et oui, il existe des moyens d’agir. Pas pour le faire disparaître, mais pour mieux vivre avec, apaiser les signes, et retrouver un équilibre.

Dans cet article, on vous présente les compléments alimentaires les plus utiles pour accompagner naturellement le SOPK, ainsi que les conseils d’hygiène de vie qui peuvent faire toute la différence.


Qu’est-ce que le SOPK ?

Le SO… quoi ? Le SOPK, c’est l’acronyme de syndrome des ovaires polykystiques, autrefois appelé syndrome de Stein-Leventhal.


Concrètement, il s’agit d’un déséquilibre hormonal qui perturbe le fonctionnement des ovaires. Ces derniers peinent à libérer un ovule à chaque cycle : l’ovulation se fait mal ou pas du tout. Les follicules (petites poches qui contiennent les ovules) s’accumulent donc dans les ovaires sans arriver à maturité. C’est ce qu’on appelle des ovaires “multifolliculaires” et c’est de là que vient le nom du SOPK.


Important : le SOPK n’est pas une “maladie” au sens strict du terme. Une maladie a généralement une cause unique et un traitement bien défini. Un syndrome, lui, regroupe plusieurs signes qui peuvent varier d’une femme à l’autre, sans origine précise ni solution universelle. C’est exactement le cas ici.


Le SOPK est donc un syndrome fonctionnel et multifactoriel, qui peut apparaître dès l’adolescence. On sait que plusieurs facteurs peuvent contribuer à son apparition :

  • Une prédisposition génétique,

  • Une résistance à l’insuline,

  • Un déséquilibre de l’axe hormonal (ovaires, hypophyse, surrénales),

  • Et parfois une inflammation chronique de bas grade.

C’est le trouble hormonal féminin le plus courant en âge de procréer et la première cause d’infertilité en France, selon l’INSERM.


Pourtant, il reste encore trop peu diagnostiqué ou reconnu et beaucoup de femmes restent dans l’incompréhension pendant des années, voire dans une véritable errance médicale.😔

Comment reconnaître le SOPK ?

Ce syndrome ne se manifeste pas de la même façon chez toutes les femmes. Et pour cause : il n’existe pas un seul SOPK, mais plusieurs profils, selon les mécanismes dominants. Chez certaines, ce sont les ovaires qui posent problème (avec une ovulation irrégulière), chez d’autres, c’est la résistance à l’insuline, une surrénale trop stimulée perturbe profondément l’équilibre hormonal.

Quels sont les signes les plus fréquents du SOPK ?

Plusieurs signes peuvent mettre sur la piste du SOPK. Voici ceux qui sont le plus souvent rapportés :

  • Des cycles irréguliers, espacés ou totalement absent,

  • Une pilosité plus marquée, notamment au niveau du menton, du ventre ou des cuisses,

  • Une acné hormonale tenace, qui persiste à l’âge adulte,

  • Une difficulté à perdre du poids, parfois malgré une hygiène de vie équilibrée,

  • Une fatigue chronique, un moral fluctuant, voire un vrai brouillard mental.

Ces signes ne sont pas systématiques, mais s’ils vous parlent, ils méritent d’être pris au sérieux.

Comment se pose le diagnostic du SOPK ?

Le diagnostic du SOPK se fait avec un gynécologue ou un endocrinologue, et il se déroule en deux étapes complémentaires :

1️⃣ Première étape : l’échographie pelvienne, qui permet de repérer d’éventuels ovaires multifolliculaires (et non des “kystes” comme son nom le laisse entendre), autrement dit une accumulation anormale de petits follicules qui n’arrivent pas à maturité.


2️⃣ Deuxième étape : le bilan hormonal sanguin, pour évaluer notamment les taux d’androgènes (testostérone, DHEA…), de FSH, de LH, de prolactine et parfois d’AMH (hormone anti-müllérienne).


Le diagnostic repose sur ce qu’on appelle les critères de Rotterdam, utilisés comme référence. Pour qu’un SOPK soit suspecté, il faut remplir au moins deux de ces trois critères :

  • Des cycles irréguliers ou absents, signe d’un manque d’ovulation,

  • Une hyperandrogénie, visible (acné, pilosité, chute de cheveux) ou détectée dans les analyses de sang,

  • Des ovaires multifolliculaires visibles à l’échographie, ou un taux d’AMH élevé.

Mais ce n’est pas tout. Avant de poser un diagnostic, il est essentiel d’écarter d’autres causes possibles : on parle de diagnostic d’élimination, et il fait entièrement partie du processus. Il permet de s’assurer qu’il ne s’agit pas, par exemple, d’un dérèglement de la thyroïde, d’un adénome hypophysaire à prolactine ou encore d’un syndrome de Cushing.


“Et si je prends la pilule ?” C’est tout de même possible, mais le diagnostic peut être plus complexe, car certains marqueurs sont faussés. Dans ce cas, n’hésitez pas à demander un avis médical.

Quels compléments alimentaires peuvent accompagner le SOPK ?

On ne va pas se mentir : aucun complément alimentaire ne peut “guérir” le SOPK.
Mais certains actifs peuvent vraiment aider à en atténuer les effets au quotidien.

L’objectif, c’est d’agir là où le SOPK se fait le plus sentir :

✅ Faire baisser les androgènes pour limiter les imperfections, la pilosité ou la chute de cheveux ;


✅ Soutenir l’ovulation et la régularité des cycles ;


✅ Améliorer la sensibilité à l’insuline pour mieux gérer le poids et les fringales ;


✅ Calmer les déséquilibres internes, apaiser le mental, relancer l’énergie.


À condition, bien sûr, de miser sur les bons actifs, et de les associer à une hygiène de vie adaptée à votre profil. On vous présente ici les meilleurs compléments alimentaires pour le SOPK.

La Vitamine B9 ou Acide Folique

La Vitamine B9 (aussi appelée acide folique) est bien plus qu’une “vitamine de la grossesse” et, dans le cadre du SOPK, elle est même essentielle.

Pourquoi ? Parce qu’elle contribue au métabolisme de l’homocystéine, un acide aminé dont le taux peut être déséquilibré dans le SOPK, en lien avec une résistance à l’insuline ou undéséquilibre interne chronique. Or, un excès d’homocystéine peut affecter l’ovulation, la vascularisation, voire la qualité des cellules reproductrices.


Une étude randomisée en double aveugle a d’ailleurs montré qu’une complémentation en Acide Folique (5mg par jour) pouvait améliorer certains marqueurs métaboliques chez les femmes atteintes de SOPK.


L’Acide Folique contribue aussi à réduire la fatigue que beaucoup de femmes concernées par le SOPK connaissent bien.


➡️ À noter : Toutes les vitamines B9 ne se valent pas. Le Quatrefolic® (5-MTHF) est la forme de Vitamine B9 la plus biodisponible : cela signifie que le corps peut l’utiliser directement, sans avoir besoin de la transformer. C’est cette forme que vous retrouverez dans notre complément. ☺️

Le Zinc

S'il y avait un top 3 des compléments alimentaires pour le SOPK, le zinc y serait à coup sûr. Il agit en effet sur trois axes clés du SOPK :

➡️ La peau, souvent sujette aux imperfections,
➡️ Les androgènes, dans le but de limiter la pilosité et la chute de cheveux,
➡️ Le métabolisme des sucres, souvent perturbé par une résistance à l’insuline.


Concrètement, le zinc contribue au maintien d’un taux normal de testostérone, un point central quand on veut apaiser les effets d’une hyperandrogénie.


Il contribue aussi au métabolisme normal des glucides, ce qui peut soutenir une meilleure gestion de la glycémie et un équilibre hormonal plus stable.


Et bien sûr, le zinc contribue au maintien d’une peau normale et, sans surprise, c’est souvent vers lui qu’on se tourne en cas d'imperfections, qu’elles soient digestives ou hormonales.


“On choisit quelle forme de zinc ?” Le Zinc bisglycinate, évidemment ! 🫠


C’est une forme hautement biodisponible, bien tolérée sur le plan digestif, et parfaitement assimilée par l’organisme. L’idéal pour une action efficace sans inconfort digestif.


Le Chrome

Chez beaucoup de femmes avec un SOPK, le sucre est mal utilisé par les cellules : on parle alors de résistance à l’insuline. L’organisme produit bien cette hormone (l’insuline), mais les cellules deviennent moins réceptives. Résultat : le glucose stagne dans le sang, l’insuline grimpe… et les ovaires se mettent à produire plus d’androgènes (hormones mâles). Ce déséquilibre hormonal peut dérégler les cycles, favoriser la prise de poids, les fringales ou une fatigue persistante.

Cette résistance peut être mesurée par le test HOMA (glycémie + insuline à jeun), mais même sans résultat “anormal”, des signes peuvent déjà être là.

Dans ce contexte, le chrome est un précieux allié : il contribue au maintien d’une glycémie normale, ce qui aide à limiter les pics d’insuline et les envies de sucre qui s’ensuivent. En clair : une énergie plus stable, moins de fringales… et un vrai coup de pouce pour stabiliser son poids.

De notre côté, on a choisi d’intégrer le chrome dans notre Multivitamines, aux côtés de nombreux autres nutriments, vitamines et minéraux essentiel dont le précieux Inositol.

➡️ À noter : Le chrome est déconseillé sans avis médical en cas de traitement en cours ayant un effet sur la glycémie.

L’Inositol

Puisque l’on parle d’inositol : laissez-nous vous présenter l’actif star des compléments alimentaires dédiés au SOPK.


Parfois surnommé « vitamine B7 », l’Inositol n’est pas une vitamine au sens strict, mais un sucre naturellement présent dans l’organisme, structurellement proche des vitamines du groupe B.

Son intérêt dans le cadre du SOPK est largement documenté, notamment à travers de revues systématiques, c’est-à-dire des analyses rigoureuses de plusieurs études scientifiques sur un même sujet. 🔎


Ces travaux soulignent son potentiel pour améliorer la sensibilité à l’insuline, soutenir l’équilibre hormonal et favoriser des cycles plus réguliers.


C’est donc tout naturellement qu’on retrouve l’Inositol dans notre Multivitamines, en synergie avec les autres alliés du SOPK : Chrome, Zinc et Vitamine B9.

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Le Magnésium Bisglycinate

Avec le SOPK, le déséquilibre hormonal ne s’arrête pas aux ovaires. Il pèse aussi sur le moral. Irritabilité, fatigue nerveuse, troubles du sommeil… Le stress devient chronique, alimenté par les signes visibles (acné, pilosité, prise de poids) mais aussi par l’hyperandrogénie elle-même.


Une étude a d’ailleurs mis en lumière le lien entre un taux élevé d’androgènes libres et une altération marquée de la qualité de vie psychique chez les femmes atteintes de SOPK.


Dans ce contexte, c’est le magnésium qui peut aider le plus. Surtout sous forme de bisglycinate, bien tolérée et facilement assimilable. Il contribue à réduire la fatigue, au fonctionnement normal du système nerveux et à des fonctions psychologiques normales.


D’autant qu’une autre étude, menée sur 1000 femmes atteintes de SOPK, a révélé qu’un faible taux de magnésium sérique était associé à une résistance à l’insuline plus marquée et à des taux de testostérone plus élevés.

➡️ À noter : quand on a le SOPK, la durée idéale d’une cure de magnésium est de 2 à 3 mois, le temps d’agir en profondeur sur le stress et l’équilibre hormonal.

Les Oméga-3

Dans le package de ce syndrome, on retrouve aussi : inconforts de bas grade, fatigue mentale, baisse de concentration… Des effets pesants qui peuvent être atténués par un bon apport en acides gras essentiels au quotidien.


Les oméga-3 peuvent donc être ajoutés à la liste des compléments alimentaire pour le SOPK, et plus précisément l’EPA et le DHA qui contribue au fonctionnement normal du cerveau.


Une revue scientifique a également mis en lumière leur rôle potentiel dans la prévention et l’amélioration de la résistance à l’insuline, très fréquent chez les femmes atteintes de SOPK. Les chercheurs soulignent qu’un apport d’au moins 1 g/jour d’EPA + DHA serait nécessaire pour observer un effet bénéfique.


📚 Pour aller plus loin, découvrez notre article sur les aliments les plus riches en Oméga-3.

Les conseils d’une naturopathe spécialisée dans le SOPK

Je suis Éloïse Dubois-Gaché, naturopathe spécialisée en phytothérapie et en équilibre hormonal féminin. J’accompagne chaque jour des femmes touchées par le SOPK, et je souhaite aujourd’hui vous partager quelques conseils concrets que je donne régulièrement en consultation :


Adoptez une alimentation à index glycémique bas : elle permet de mieux stabiliser la glycémie et d’améliorer la sensibilité à l’insuline, un point central dans le SOPK. Je vous recommande de faire la part belle aux fibres, d’augmenter vos apports en protéines, et d’associer les bonnes graisses (avocat, noix, huile d’olive ou de colza) aux glucides pour en réduire l’impact glycémique. Sans pour autant tomber dans la restriction, il est important de limiter les sucres rapides.


Bougez régulièrement, sans pression : l’activité physique est un précieux allié pour réguler les hormones, réduire les inconforts et favoriser un meilleur équilibre global. Ce que je conseille : choisissez une activité que vous aimez. Marche rapide, yoga, danse, natation, musculation douce… tout compte, tant que cela vous fait du bien.


Apprenez à gérer votre stress : c’est un point fondamental. Le stress chronique stimule la production de cortisol, ce qui peut aggraver la résistance à l’insuline et perturber encore davantage les hormones. Intégrer des respirations, des pauses, ou même des plantes adaptogènes comme l’Ashwagandha peut soulager le système nerveux. Et quand le système nerveux s’apaise… les hormones suivent.


Vérifiez votre taux de vitamine D : trop souvent mise de côté, la vitamine D est pourtant essentielle, notamment dans le processus de division cellulaire. Dans les cas de SOPK, elle est particulièrement intéressante. Certaines études ont montré qu’une complémentation pouvait améliorer les cycles menstruels, soutenir la folliculogenèse et contribuer à réduire le taux de testostérone.


Limitez les perturbateurs endocriniens : ils sont partout dans notre quotidien – cosmétiques, plastiques, produits ménagers… et ils nuisent insidieusement à notre équilibre hormonal. Pour agir au quotidien, voici ce que je recommande :

  • Privilégiez les aliments bruts et bio pour éviter les résidus de pesticides.

  • Passez à des produits ménagers simples et naturels comme le vinaigre blanc, le savon noir ou le bicarbonate.

  • Remplacez les poêles antiadhésives abîmées et limitez les plastiques en cuisine.

  • Dans la salle de bain, soyez attentive à la composition de vos cosmétiques. Un petit coup d’œil à des applis comme Yuka ou INCI Beauty vous aidera à faire les bons choix.

Et surtout, faites-vous accompagner : le SOPK est multifactoriel, et chaque femme le vit différemment. Le suivi avec votre gynécologue ou endocrinologue est essentiel. Et si vous souhaitez y associer une approche naturelle, la naturopathie est une excellente alliée. Elle permet d’ajuster votre hygiène de vie et d’accompagner efficacement la prise de compléments, ce qui peut faire une réelle différence dans la gestion du SOPK.

Pour résumer

Bon. Un petit résumé s’impose, vous ne pensez pas ?


Le SOPK, c’est complexe, déroutant, souvent épuisant… mais non, vous n’êtes pas condamnée à le subir et oui, des compléments alimentaires pour le SOPK, ça existe.


Parmi les meilleurs alliés : Zinc Bisglycinate, Vitamine B9, Oméga-3, Inositol, Chrome, Vitamine D. Le tout, bien sûr, à associer à une hygiène de vie adaptée pour soutenir votre équilibre hormonal et atténuer les inconforts du SOPK au quotidien.


Longtemps ignoré, ce syndrome commence enfin à faire du bruit. À l’image de l’endométriose, il mérite d’être entendu, reconnu et accompagné. Ce n’est que le début ! 💪🏼

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Nos réponses à vos questions

Tout savoir sur le SOPK

Le SOPK est-il une maladie chronique ?

Le SOPK est avant tout un syndrome, c’est-à-dire un ensemble de signes liés à un déséquilibre hormonal. Il ne se guérit pas, mais ses signes peuvent être atténués avec une bonne hygiène de vie, un suivi médical et parfois des compléments alimentaires adaptés.

Quels sont les premiers signes du SOPK ?

Les signes varient selon les femmes, mais les plus courants sont : des cycles irréguliers ou une absence de règles, une acné persistante, une prise de poids inexpliquée, une chute de cheveux ou encore une pilosité excessive.

L’acide folique peut-il aider en cas de SOPK ?

Oui, la vitamine B9 (acide folique ou folates) contribue à réduire la fatigue et joue un rôle dans le processus de division cellulaire. Elle est souvent recommandée en cas de SOPK, surtout pendant un projet bébé (jusqu’à 600 ug par jour).

Faut-il consulter une naturopathe pour commencer une complémentation ?

C’est vivement conseillé, car le SOPK ne se manifeste pas de la même façon chez toutes les femmes. Une naturopathe peut vous aider à adapter vos compléments alimentaires à vos inconforts, votre mode de vie (alimentation, gestion du stress) et vos objectifs.

Peut-on associer plusieurs compléments en cas de SOPK ?

Oui, c’est même souvent nécessaire (inositol + B9 + zinc, par exemple). Mais attention aux interactions (le zinc et le fer ne sont pas bons amis), aux doublons et aux surdosages : l’idéal est de se faire accompagner pour construire une routine adaptée et cohérente.

Une question ?

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